Le dock est facile à utiliser, une fois que l’on a dépassé les différentes embûches. En effet l’appareil n’est pas fourni avec un manuel, cela ne facilite pas sa prise en main. En fait si, il y a un guide mais il concerne uniquement le logiciel permettant de faire du clonage. L’installation est simple, il n’y a pas de pilote (driver) à installer. Quand on branche l’appareil, on ne voit rien se passer sur l’ordinateur. C’est normal, il faut mettre une clé USB ou un disque dur dans la station d’accueil pour voir apparaître la clé ou le disque. C’est à savoir, ça évite de rechercher pendant des heures un pilote qui n’existe pas. Testé sur XP, Windows 10 et Debian Buster (4.19.152-1), où aucun driver n’a été nécessaire.

La seule véritable difficulté rencontré, a été de réussir à encastrer un disque dur IDE 3.5 pouce. En effet, déjà pour mettre une nappe sur ces disques, on est toujours entrain de forcer. Alors pour incruster dans une station d’accueil où l’on ne voit pas les broches, c’est plutôt coton. Une fois que l’on a réussi à en mettre un, cette difficulté s’estompe avec le temps pour deux raisons. La première c’est que l’on se rend compte que l’on peut bien se fier au « séparateur » (dos ?, paroi ?) qui au final est de la taille du disque 3.5″ (à 1 ou 2 millimètres près). La deuxième c’est la plasturgie qui va se « faire », en particulier le connecteur Molex qui était dans mon cas trop proche de la paroi. Il conviendra donc de bien faire attention la première fois que l’on utilisera un disque dur 3.5 pouce IDE afin de ne pas abîmer ses broches. Idéalement il faudrait un vieux disque hors d’usage pour faire les premiers encastrements, pour être tranquille. A part ça, la station d’accueil se comporte bien. Elle permet de pouvoir brancher simultanément deux disques (1 IDE + 1 SATA) , des cartes mémoires et deux clef USB.